A propos

Les arteurs, c’est une pensée un projet d’art attentif et pluriel mais aussi un lieu : La porte grenade.
C’est sur ce mode qu’il faut désormais conjuguer : De la peinture, du textile, des prints sur papier, plexi, une musique du texte. De quoi remplir bien plus que des murs, de remplir une vie, de déborder, de sortir du cadre. Liberté!

Nous pensons que l’on fasse des objets, des peintures, qu’on sculpte ou qu’on construise des lampes, c’est la même chose qui doit sortir : un soi…

Nous préférons voir dans nos démarches créatives des actes de libertés et de lumières, traduisible de multiples manières. Des lampes, des tableaux, des objets qui n’appartiennent pas à une catégorie,
qui sont uniques et multiples, qui sont visibles, audibles, que l’on mange, que l’on partage et que l’on allume le soir.

En somme, par l’objet du quotidien, nous voulons inviter celui qui regarde à rentrer en relation, établir des collaborations. Nous voulons jeter des passerelles. L’homme de la rue mérite mieux que la solitude. Et l’arteur aussi.

« Les murs empêchent de voir ? Cassons les murs et mettons la création dans l’espace public » à l’instar de Rauschenberg et john Cage.

Notre projet se veut lieu de rencontre donc, lieu passerelle, aux interrupteurs multiples, branchés sur du courant fortement alternatif.
Outre la peinture, la sculpture, la photo, le textile, les prints sur papier, plexi, nous proposerons aussi des flashs répétés sur le slam, la performance, le rock…

Ça part dans tous les sens ? Ça donne le tournis ? C’est une expérience, lumineuse, comme une île qui apparaît au bout de l’écran. Fiat Lux : que la lumière soit.